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EURIPIDE

MÉDÉE

Traduction nouvelle commentée et annotée
Danielle De Clercq, Bruxelles, 2005

 

INTRODUCTION 


Euripide (480-406) est considéré comme le troisième - et dernier - grand auteur tragique grec, ce qui n'est pas à prendre chronologiquement au sens strict. Sophocle, de quelque dix-huit ans son aîné, mourut un an après lui, en 405, peu de temps après avoir composé Oedipe à Colonne. Par ailleurs, la première représentation de Médée remonte à
431 A.C., ce qui la rend vraisemblablement antérieure d'un an à celle d'Oedipe-Roi .

Si Euripide consacra l'essentiel de son activité à l'écriture théâtrale, celle-ci ne lui valut que peu de succès, surtout en début de carrière. Couronné seulement quatre fois, l'auteur ne connut jamais de son vivant une popularité comparable à celle de Sophocle, dont l'écriture est bien différente. Toutefois, outre de nombreux fragments, il reste des plus de nonante oeuvres d'Euripide, dix-sept tragédies, compte non tenu de Rhésos, dont l'attribution est douteuse, ni du drame satyrique, Le Cyclope. Cette survie, si modeste soit-elle, est bien supérieure à celle des oeuvres d'Eschyle et de Sophocle dont la production fut comparable. Elle témoigne du succès posthume d'une oeuvre qui annonçait l'évolution du goût de la société grecque sur le plan littéraire, et les prémices de l'époque hellénistique.

 DE LA LÉGENDE À LA TRAGÉDIE
1.  La légende

Elle présente bien des variantes, où on découvre d'ailleurs que Médée n'est pas toujours une infanticide ni une criminelle. Voici quelques repères de la version qu'Euripide a portée à la scène.

LA TOISON D'OR

Pour protéger leurs amours, Poséidon, dieu de la mer, et Théophanè, une mortelle, se sont métamorphosés en ovins! Théophanè met au monde Chrysomallos, un bélier à toison d'or. L'animal est offert par Hermès ou Héra à Néphélè, épouse de l'infidèle Athamas, roi d'Orchomène en Béotie. Celui-ci veut sacrifier Hellé et Phrixos, la fille et le fils qu'il a eus de Néphélè, pour conjurer la sécheresse qui sévit dans la région. Les deux jeunes gens enfourchent Chrysomallos et prennent la fuite... par la voie des airs. Au cours du voyage, Hellé fait une chute mortelle dans le détroit des actuelles Dardanelles, dénommées dans l'Antiquité Hellespont, c'est à dire mer d'Hellé. Arrivé en Colchide, l'actuelle Géorgie occidentale, Phrixos épouse Chalciopè, une des filles du roi Aeétes, fils lui-même d'Hèlios, le dieu Soleil. Le bélier est sacrifié à Zeus et sa précieuse toison est offerte à Aeétes, qui redoutant qu'on la lui dérobe, la fait garder par un dragon.

LES ARGONAUTES

Les craintes d'Aeétes étaient fondées car un prestigieux équipage de héros, dont les noms et le (grand) nombre varient, voguaient vers la Colchide pour conquérir la Toison d'Or à l'initiative de Jason. Ils se déplaçaient à bord de l'Argo, un prodigieux navire conçu peut-être par Athéna et le premier, semble-t-il, qui fût apte à franchir de vastes étendues maritimes.

JASON

Il est le fils d'Éson, roi d'Iôlcos en Thessalie, lui-même chassé par son propre frère, l'usurpateur Pélias. Lorsque, seul survivant de sa famille décimée par le tyran, Jason lui réclame le trône, Pélias accepte à la condition toutefois que son neveu le mette en possession de la Toison d' Or. C'est ainsi qu'est organisée, malgré l'opposition d'Hèlios, l'expédition des Argonautes. Jason et ses compagnons débarquent en Colchide.

MÉDÉE

Douée de pouvoirs magiques, Médée est une autre fille d'Aeétes. Tombée amoureuse de Jason, elle imagine un stratagème pour contourner les obstacles que son père impose à l'Argonaute, et pour endormir le dragon gardien de la Toison d'Or. Jason réussit ainsi à dérober le précieux talisman. Médée, en compagnie de son jeune frère Absyrtos, prend la fuite avec Jason et, pour freiner Aeétes qui les poursuit, tue Absyrtos : elle jette ses membres épars et Aeétes s'attarde pour rassembler tous les morceaux du corps de son fils. Arrivée à Iôlcos avec Jason, Médée, pour le débarrasser de Pélias, va conseiller aux filles de celui-ci, soi-disant pour le rajeunir, de faire cuire l'usurpateur dépecé dans un chaudron! Jason et Médée prennent la fuite pour échapper à la vengeance d'Acaste, fils de Pélias.

2. Transition

À partir de là, les versions divergent. On notera que le sort de la Toison d'Or, qui est la cause première de toutes ces péripéties, n'est plus guère évoqué. Jason l'a-t-il ramenée en Colchide où il est rentré avec Médée et est monté sur le trône que la mort d'Aeétes a laissé vacant?

Selon la version que suivent Euripide et son prédécesseur Néophron, Médée et Jason arrivent dans la cité-état de Corinthe sur laquelle règne Créon (Kreôn), un homme âgé. Même si Euripide en laisse in fine supposer le contraire, on croirait volontiers que Créon n'a qu'une seule fille, qu'il chérit tout particulièrement. L'auteur ne la cite jamais par son nom. D'autres traditions l'appellent Glaukè, la lumineuse, ce qui prend une connotation sinistre quand on connaît son destin tragique. Elle est désignée aussi par Kreousa, - Creusa en latin, Créuse en français - qui est le féminin de Créon et souligne l'étroitesse du lien entre le père et la fille.

Accueillis à Corinthe, Jason et Médée, couple de princes déchus, s'y intallent. Ils élèvent Phérès et Merméros, leurs deux fils qui y sont probablement nés. Toujours aussi amoureuse de Jason, Médée s'adapte fort bien à la Grèce, même si elle garde la nostalgie de sa terre natale barbare et l'orgueil de sa divine ascendance. Sa réputation de femme instruite et de guérisseuse grandit et sa célébrité s'étend au-delà de Corinthe. On devine le couple en relation avec Créon et d'autres rois de la région.

Quelques années ont passé, dix peut-être, et Glaukè est en âge de se marier. L'ambition de Jason est intacte. Il ne s'accommode guère de cette vie d'exilé sans avenir et se sent éclipsé par l'éclat de Médée, à qui il doit certes d'avoir été sauvé deux fois de justesse mais aussi d'être condamné à cet exil.

Ainsi se noue la crise tragique.

3. La tragédie d'Euripide

Jason a répudié Médée et épousé la princesse royale. Euripide n'est pas explicite sur les raisons du consentement de Créon. D'autre part, au cours de l'action, Jason n'exprime guère d'affection pour sa jeune épouse, sans cacher son intérêt d'entrer dans sa famille. Quoi qu'il en soit, cette situation a précipité Médée, blessée au plus profond d'elle-même et noyée de chagrin, dans un état d'abattement complet, où perce néanmoins un désir de vengeance exprimé par des pulsions de mort, comme le révèle le début de la tragédie. Toutefois Médée sort de la crise, malgré la sentence d'exil dont Créon la frappe ainsi que ses fils. Obtenant de différer d'un jour son départ, Médée ourdit des projets meurtriers de vengeance à l'encontre de Jason, de sa nouvelle épouse et de Créon. La protection inespérée et inconditionnelle que lui accorde Égée, roi d'Athènes, la fait évoluer de manière perverse dans ses desseins. Plutôt que de tuer Jason, elle préfère lui enlever toute raison de vivre. Ainsi, sous prétexte d'exempter ses enfants de l'exil, elle les charge après une feinte réconciliation avec Jason, d'offrir une magnifique parure - enduite de poison! - à la jeune mariée. Celle-ci, charmée, la revêt immédiatement et meurt dans d'atroces souffrances, tout comme Créon qui tente en vain de la sauver. Médée, tout en étant tiraillée par l'amour maternel, tue ses deux enfants en avançant comme justification de les faire échapper à la vindicte des Corinthiens. Au moment où Jason découvre ce double meurtre, Médée du haut d'un char aérien qu'Hèlios lui a envoyé, nargue cruellement Jason en lui refusant notamment de rendre tout hommage funèbre à ses deux fils. Jason s'écroule tandis que le char emporte Médée vers Athènes.

Il existe deux arguments ou présentations générales de la tragédie remontant à l'époque hellénistique.

4. Et après?

Même si la conclusion du coryphée insiste sur la capacité des dieux à faire se produire ce qui est inattendu, on peut s'interroger sur la relative impunité de Médée, même si on sait que, une fois sa vengeance accomplie, elle demeure marquée par la conscience et le remords de son double infanticide. À Athènes elle donnera à Égée un fils, Médos, qui sera roi des Mèdes. Égée sensible aux critiques que suscite la présence à ses côtés d'une Barbare à la réputation sulfureuse, qu'on accuse aussi d'une tentative d'empoisonnement de son fils Thésée, la chassera à son tour. Elle finira sa vie en Colchide. Selon la tradition, Jason meurt écrasé par la poupe de l'Argo, sous laquelle il se reposait.

ANALYSE

Sans insister sur les contraintes traditionnelles des oeuvres dramatiques grecques, on relève dans l'intrigue quelques invraisemblances, dues au fait que l'auteur a voulu compter avec les données légendaires tout en faisant évoluer l'action et monter la tension dramatique. Quelles raisons Créon avait-il d'envoyer les enfants de Jason en exil (Cf. 271-276) au risque de blesser son gendre, qui justifie son remariage par le désir de leur garantir une existence meilleure (Cf. 546-568; 593-597)? Si le vieux roi n'en donne aucune explication, cette circonstance permet à Médée d'ourdir sa vengeance contre sa rivale et de commettre l'infanticide (Cf. 780 sv). L'intervention d'Égée relève du coup de théâtre le plus pur, procédé facile s'il en est (Cf. SC.XII) tout comme l'échappée de Médée en char aérien envoyé par Hèlios (Cf. SC.XXIV). On peut aussi s'interroger sur l'absence de Jason au moment de la mort de son épouse et de Créon, alors que tout le palais est en émoi (Cf. 1136 -1230). Jason aurait pu mourir à ce moment-là, mais cela, tout en n'étant pas conforme à la légende, n'aurait pas comblé les voeux pervers de Médée (Cf. 790-796) ni surtout permis la confrontation spectaculaire et dramatique des deux ex-époux dans la dernière scène (Cf. 1317-1419) où Jason est humilié à son tour. Par ailleurs, comme on le verra, des seconds rôles sont traités avec quelque désinvolture. Quant aux enfants, s'ils sont visibles sur scène, ils n'auront droit à la parole qu'en se faisant tuer en coulisses, ce qui nous renvoie aux contraintes scéniques.

Le choeur est formé de Corinthiennes, des femmes de la rue. Il n'est véritablement intégré à l'action qu'avant l'apparition de Médée sur scène. Le coryphée ne s'affirme réellement que lorsque Médée lui révèle son intention de tuer ses enfants (Cf. 811-813 sv). L'attitude du choeur et du coryphée sera fonction de l'évolution des intentions de Médée, qu'ils n'arriveront jamais à contrer ni même à influer, ce qui les induira dans une attitude de résignation à l'inévitable et de déploration.

Hormis la présence du choeur, traditionnelle et gérée avec plus ou moins de bonheur, et quelques brèves allusions mythologiques et épiques, la tragédie glisse vers le drame intimiste. Le décor, tout d'abord: l'extérieur de la maison de Médée côté rue. La mention de la porte à deux battants permet de lui supposer une certaine importance, mais l'absence de toute autre description induit la simplicité, sinon la banalité de cet élément qui joue un rôle déterminant dans certaines scènes. Seule l'irruption du char attelé d'un dragon volant que conduit Médée marque in fine une rupture brutale. Des personnages royaux? Certes et même escortés. Mais Créon n'est présent en scène qu'une seule fois et son intervention n'a rien de prestigieux. Sa fille n'est jamais qu'évoquée. Le roi athénien Égée joue, lui aussi, un rôle indispensable à l'évolution de l'action, mais tout aussi épisodique, et son personnage, tout comme celui de Créon, est en deçà du caractère auguste de sa fonction.

L'entourage de Médée, de Jason et de leurs enfants (autrement dit certains seconds rôles), est fait d'esclaves: une vieille nourrice, un vieux précepteur. Un serviteur de Jason assume le rôle de messager. Les deux premiers, proches à certains moment de personnages de la comédie nouvelle, auraient pu être davantage encore exploités sur le plan psychologique dans leurs rapports avec Médée plutôt que de jouer avant tout les utilités pour faire évoluer l'action. Et même sur ce plan-là, Euripide, en les "oubliant" tout simplement une fois pour toutes à un moment donné, n'est pas très cohérent.

Le dramaturge n'a pas conféré de dimension épique à Jason. Celui-ci intervient dans quatre scènes capitales qui permettent davantage de l'opposer à Médée que de faire évoluer l'action. Autosatisfaction, recherche à tout prix de son intérêt, justifications discutables assénées avec force, sentiment d'appartenir à une communauté culturellement supérieure, dont il se montre un piètre représentant, sensibilité à la flatterie qui le perdra, machisme facile font que le trop fier Argonaute n'attire guère la sympathie au cours des deux premières scènes où il paraît (Cf. 446-626; 866-975). Il sert plutôt de faire-valoir de Médée tantôt dans la conscience qu'il fait involontairement prendre par le public de la détresse de l'épouse délaissée, tantôt pour l'habileté que celle-ci déploie, toute blessée qu'elle est, pour berner ce mâle infatué. Par contre, dans les deux dernières scènes, où on le découvre complètement et inéluctablement vaincu par son destin (Cf. 1293- 1316; 1317-1419), Jason déplace et polarise l'intérêt des spectateurs sur le malheur démesuré qui foudroie sa vie personnelle et affective, et Médée n'en sort pas grandie (Cf. SC. XXIV).

Enfermée dans sa maison d'où on l'entend se lamenter, Médée n'est pas visible dans les premières scènes. Elle n'y en commande pas moins les réactions des personnages en scène et du choeur. Ses pulsions de mort, vraisemblables dans son état, annoncent l'inéluctable évolution des événements dont elle va se rendre maîtresse. Elle apparaît progressivement et sa visibilité quasi constante reflète l'irrésistible reconquête de ses capacités au sortir de la crise. La femme répudiée, que sa douloureuse blessure d'amour a d'abord rendue impuissante à agir, va s'affirmer comme une personnalité qui fascine ses interlocuteurs, et une amante vengeresse prête au crime passionnel qui la délivrera de l'infidèle si indigne de l'amour qu'elle se reproche de lui avoir donné. Puis son côté barbare éclate dans l'ourdissement d'une vengeance aussi atroce que perverse, qui la rend malheureuse en tant que mère mais à laquelle, dans son orgueil, elle ne veut ni ne peut se soustraire. Le contraste n'en est que plus frappant avec ses touchants et très beaux accents d'amour maternel (1019-1080). Euripide réussit la gageure de la rendre à la fois humaine et monstrueuse, à moins qu'elle ne soit le miroir de toutes les pulsions inavouables qui se terrent dans l'inconscient de chacun. Quelques siècles plus tard l'Hippolyte d'une tragédie latine, s'en prenant, il est vrai aux seules femmes, dira : sola coniunx Aegei, Medea, reddet feminas dirum genus: "À elle seule, l'épouse d'Égée, oui Médée, fera des femmes une race funeste".

L'ambiguïté s'étend bien au-delà de celle des protagonistes et baigne complètement l'oeuvre. On a vu qu'Euripide s'en tient à la légende - dans sa version la plus exacerbée, il est vrai - au risque d'invraisemblances. Or, à d'autres moments il arrange les données mythologiques pour flatter le public athénien ou renforcer une métaphore. Mais d'autres aspects sont bien plus bouleversants.

Les valeurs et la culture grecques sont mises en évidence par rapport au monde barbare, mais Jason les défend-il mieux que Médée? Celle-ci dénonce avec conviction et réalisme la condition de la femme mariée en Grèce - véritable morceau d'anthologie (Cf. 230-251sv) - au point d'enthousiasmer le choeur. Mais ces propos d'une Barbare, criminelle de surcroît, pouvaient-ils avoir une portée réelle, d'autant que, par la suite, certaines interventions du choeur et du coryphée, effarouchés par l'évolution du comportement de Médée, rendent une image de la femme beaucoup plus "rassurante" et traditionnelle? Si le châtiment de la démesure est on ne peut plus clair pour Jason, on ne recueille pas la même impression pour Médée. Que dire de la conception de la justice que le choeur et le coryphée, et, d'autre part, Médée invoquent à des fins si différentes? Les dieux, eux aussi et surtout, sont déconcertants, qui sont invoqués par les deux parties en présence tantôt pour justifier la vengeance, tantôt empêcher son accomplissement? Sans même s'attarder à Cypris, dont les caprices sont bien connus, on voit Hèlios arracher spectaculairement Médée à la vindicte des Corinthiens et de Jason. Quant à Zeus, il est certes "De bien des circonstances, l'ordonnateur", comme l'affirme la conclusion du coryphée (1415- 1419), mais combien obscur et déconcertant. Le spectateur risquait de trouver ses points de repères bien brouillés.

OPTIONS DE TRADUCTION ET PRÉSENTATION 

Les exclamations et cris plaintifs fréquents au cours des morceaux choraux et dans les échanges entre les acteurs et le choeur sont de véritables onomatopées de sanglots, de râles, de soupirs ou des cris de douleur ou encore des interjections marquant le découragement. Ils sont plutôt une langue de signes que du grec proprement dit. Les traduction françaises qu'on en propose se limitant en général à "las!" ou "hélas"!, j'ai préféré ne pas les traduire du tout pour leur laisser toute leur valeur expressive. De même, pour des raisons de clarté, j'ai délibérément rendu le nous majestatif par la première personne du singulier.

Comment rendre le dépaysement inhérent aux passages choraux et aux échanges entre le choeur et les acteurs, ou encore aux soliloques du coryphée? Cela implique le passage au dorien pour les chants du choeur et, dans tous les cas, l'utilisation d'une métrique différente. J'ai choisi de traduire ces passages en vers libres en respectant, autant que posible pour la clarté, l'ordre du texte original.

Le texte d'Euripide est celui qui a été établi par Méridier. J'ai accompagné sa traduction de didascalies. Par ailleurs, les notes relatives aux vingt-quatre scènes comportent en première partie un commentaire renvoyant au texte. Enfin, un fichier reprend tous les personnages par leur ordre d'entrée en scène et mentionne toutes les scènes où chacun intervient.

 Bibliographie

Méridier = Euripide. Tome I. Le Cyclope - Alceste - Médée - Les Héraclides. Texte étébli et traduit par Louis Méridier. Quatrième édition revue et corrigée. Paris. Les Belles Lettres 1956

Foucault = Histoire de la sexualité. 2. L'usage des plaisirs par Michel Foucault. NRF. Gallimard, 1984

Belfiore = Jean-Claude Belfiore. Dictionnaire de mythologie grecque et romaine. Larousse.

Liens

http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/itinera/enseignement/GLOR2310/chap02.htm

http://www.mikrosapoplous.gr/texts1.htm

http://www.yrub.com/mytho/argonautes.htm

http://www.arte-tv.com/special/medee/ftext/entreti2.html

http://www.ac-versailles.fr/pedagogi/anti/magie/magie13.htm

http://www.yrub.com/litt/medee.htm

http://www.uma.pt/Publicacoes/FORUMa/200207_A2N4/christa.html

http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/itinera/actualites/nouvelles.cfm?num=132

http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/itinera/actualites/nouvelles.cfm?num=188

 

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