Pervigilium Veneris : Introduction - Texte et traduction
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Pervigilium Veneris - La veillée de Vénus
Notes relatives à l'introduction
doute. Cf. Amycléens (92).
Martyrs. Les Martyrs, édit. 1810,Tome III pp.92-94 (Cf. Schilling p. XIII).
poète. Cf. F. Buecheler et A. Riese, Anthologia latina I, I, pp. 119-121 ; 200-202. Leipzig 1894.
Baehrens. E. Baehrens. Unedirte Lateinischen Gedichte. Leipzig, 1877. Cette attribution à Tibérianus est adoptée par Goold (pp. 343-344).
Anthologie latine. F. Buecheler et A. Riese, Anthologia latina I, II ,490; 719 b; 809- 810. Leipzig 1894. Cf. Minor Latin Poets. Volume II. Translated by J. Wight Duff & Arnold M. Duff. Edited by J. P. Goold. Loeb Classical Library. Harvard University Press. 1982 (Reprise de l'édition de 1935), pp.555-569.
entourage. Soit Virius Nicomachus Flavianus (cf. W. Rollo. The date and autorship of the Pervigilium Veneris. CPh. XXIV (1929), pp. 405-408), soit Claudius Antonius (cf. L. Herrmann. Claudius Antonius et le Pervigilium Veneris). Latomus XII (1953), pp. 53-69. Cf. Catlow (pp. 23 sv.).
quelques vers. Cf. 63 sv.
les premiers vers. Cf. Lucrèce (I 1-28).
stoïcien. Ignem artificiosum via progredientem pour reprendre, comme Schilling pp. XLVIII sv., Cicéron (Nat. II, XXII) exposant la théorie de Zénon de Cittium. Cf. Formicola pp. 58 sv.
terminologie. Cf. vv. 63 sv.
du XVIIIe siècle. En 1701, le refrain (cf. cras amet...) est paraphrasé par le librettiste A.Danchet dans le ballet Aréthuse d'A. Campra: Que le coeur qui n'a point aimé/ Aujourd'hui s'enflamme et soupire./ Que le coeur qui s'est enflammé,/ Suive encore l'amoureux Empire (Cité par Schilling pp. XII-XIII).
Pervigilium Veneris : Introduction - Texte et traduction