¹Bibliotheca Classica Selecta - Bibliographie d'orientation - Religions - Religion romaine
MOTEUR DE RECHERCHE DANS LA BCS
Plan
Lépoque archaïque
Dumézil G., La religion romaine archaïque, avec un appendice sur la religion des Étrusques, 2e éd., Paris, 1974, 700 p. (Bibliothèque historique).
Scheid J., Religion et piété à Rome, Paris, 1985, 155 p. (Textes à l'appui. Histoire classique). Cet ouvrage a fait lobjet dune deuxième édition (Paris, 2001 [Sciences des religions]), avec une nouvelle préface et des compléments bibliographiques.
La République
North J., Religion in Republican Rome, in Cambridge Ancient History, 2e éd., VII, 2, The Rise of Rome to 220 B.C., Cambridge, 1989, p. 573-624.
I. Sources et méthodes ; II. Les prêtres et lautorité religieuse ; III. La place des divinités dans la vie de Rome ; IV. Religion et action ; V. Adaptation à la nouvelle République ; VI. Innovation et changement.
Rawson E., Religion and Politics in the Late Second Century B.C. at Rome, in Phoenix, 28, p. 193-212.
Religion in Archaic and Republican Rome and Italy. Evidence and Experience, éd. Bispham E., Smith C., Edinburgh, 2000, 199 p. (New Perspectives on the Ancient World, 2).
LEmpire
Beaujeu J., La religion romaine à lapogée de lEmpire. I. La politique religieuse des Antonins, Paris, 1955, 455 p. (Collection d'études anciennes).
Fraschetti A., Rome et le prince, Paris, 1994, 382 p. (trad. de Roma e il principe, Rome-Bari, 1990).
Liebeschuetz J., Religion, in Cambridge Ancient History, 2e éd., XI. The High Empire, A. D. 70 192, Cambridge, 2000, p. 984-1008.
MacMullen R., Le Paganisme dans l'empire romain, Paris, 1987, 323 p. (Les chemins de l'histoire): trad. de Paganism in the Roman Empire, New Haven (Conn.), 1981.
LAntiquité tardive
Aurea Roma. Dalla città pagana alla città cristiana (Roma, Palazzo delle Esposizioni 22 dicembre 2000-20 aprile 2001), éd. Ensoli S., La Rocca E., Rome, 2000, 711 p.
Fraschetti A., La conversione. Da Roma pagana a Roma cristiana, Rome-Bari, 1999, 351 p. (Collezione storica).
On se reportera aussi, pour ces différents thèmes, aux manuels et synthèses fondamentaux cités ci-dessus.
Bremmer J., « Religion », « ritual » and the opposition « sacred vs. profane ». Towards a terminological « genealogy », in Ansichten griechischer Rituale. Für Walter Burkert, éd. Graf Fr., Stuttgart-Leipzig, 1998, p. 9-32.
Durand J.-L., Scheid J., Rites et religion. Remarques sur certains préjugés des historiens de la religion des Grecs et des Romains, in Archives de sciences sociales des religions, 85, 1994, p. 23-43.
Fugier H., Recherches sur lexpression du sacré dans la langue latine, Paris, 1963 (Publications de la Faculté des Lettres de Strasbourg, 146).
Linder M., Scheid J., Quand croire cest faire. Le problème de la croyance dans la Rome ancienne, in Archives de sciences sociales des religions, 81, 1993, p. 47-61.
Sachot M., « Religio/superstitio ». Historique dune subversion et dun retournement, in RHR, 208, 1991, p. 355-394.
« Cette étude rappelle tout dabord, sous forme de mise en garde, les conditions épistémologiques selon lesquelles on fait habituellement référence à des termes comme religio ou superstitio. Elle propose ensuite de mettre en évidence les principaux moments de lhistoire sémantique de ce couple au cours de la latinité antique et chrétienne, en montrant, dune part, que ces deux termes qui, au départ, relevaient de champs sémantiques sans aucun lien commun, en sont progressivement venus à former un couple oppositionnel et, dautre part, comment les chrétiens dexpression latine, en en permuttant les référents et en en réinvestissant la signification, en ont subverti et renouvelé profondément la portée » (résumé de larticle, p. 355).
Scheid J., Nouveau rite et nouvelle piété. Réflexions sur le ritus Graecus, in Ansichten griechischer Rituale. Geburtstags-Symposium für Walter Burkert, éd. Graf F., Stuttgart, Leipzig, 1998, p. 168-182.
Schilling R., Rites, cultes, dieux de Rome, Paris, 1979, 450 p. (Études et commentaires, 92).
recueil darticles
Les espaces
Aberson M., Temples votifs et butin de guerre dans la Rome républicaine, Rome, 1994, 284 p. (Bibliotheca Helvetica Romana, 26).
Les bois sacrés, éd. de Cazanove O., Scheid J., Naples, 1993, 206 p. (Actes du colloque international de Naples. Centre Jean-Bérard, 10).
Catalano P., Aspetti spaziali del sistema giuridico-religioso romano. Mundus, templum, urbs, ager, Latium, Italia, in ANRW, II, 16, 1, 1978, p. 440-553.
Dubourdieu A., Scheid J., Lieux de culte, lieux sacrés : les usages de la langue. LItalie romaine, in Lieux sacrés, lieux de culte, sanctuaires. Approches terminologiques, méthodologiques, historiques et monographiques, sous la direction de A. Vauchez, Rome, 2000, p. 5980 (Coll. EFR, 273).
Gros P., Larchitecture romaine du début du IIIe s. av. J.-C. à la fin du Haut-Empire. I. Les monuments publics, Paris, 1996, p. 122-234.
Gros P., Aurea templa. Recherches sur larchitecture religieuse de Rome à lépoque dAuguste, Rome, 1976, 282 p., 66 pl. (BEFAR, 231).
Orlin E. M., Temples, religion and politics in the Roman Republic, Leyde, 1997, 227 p. (Mnemosyne. Supplements, 164). CR: BMCR.
Ruggiero I., I luoghi di culto, Rome, 1997, 110 p. (Museo della civiltà romana. Vita e costumi dei Romani antichi, 20).
Ziolkowski A., The Temples of Mid-Republican Rome and their Historical and Topographical Context, Rome, 1992, 341 p. (Saggi di storia antica, 4).
Les temps (calendriers et fêtes)
Dumézil G., Fêtes romaines dété et dautomne suivi de Dix questions romaines, 2e éd., Paris, 1986, 301 p. (Bibliothèque des Sciences humaines).
Sur les fêtes en rapport avec « les eaux et les bois », « le feu et le vent », « le blé et le vin », sur la fête guerrière du Cheval dOctobre et quelques autres cérémonies et divinités.
Voir Scheid J., À propos de certaines fêtes dété. Réflexions en marge dun livre de G. Dumézil, in AION (Arch.), 2, 1980, p. 41-53).
Fasti anni Numani et Iuliani, éd. Degrassi A., Rome, 1963, 572 p., 89 pl. (I. It., 13, 2).
Édition des calendriers romains, suivie dune étude reprenant, jour après jour, les diverses sources littéraires et épigraphiques des fêtes mentionnées dans les calendriers.
Rüpke J., Kalender und Öffentlichkeit. Die Geschichte der Repräsentation und religiösen Qualifikation von Zeit in Rom, Berlin, 1995, 740 p. CR: BMCR.
Salzman M. R., On Roman Time. The Codex-Calendar of 354 and the Rythms of Urban Life in Late Antiquity, Berkeley-Los Angeles-Londres, 1990, 315 p. (The Transformation of the Classical Heritage, 17).
Scullard H.H., Festivals and Ceremonies of the Roman Republic, Londres, 1981, 288 p. (Aspects of Greek and Roman Life).
Stern H., Le Calendrier de 354. Étude sur son texte et ses illustrations, Paris, 1953, 430 p. (Institut français darchéologie de Beyrouth. Bibliothèque archéologique et historique, 55).
Sacrifices et actes cultuels comportant un sacrifice
Scheid J., Romulus et ses frères. Le collège des frères arvales, modèle du culte public dans la Rome des empereurs, Rome, 1990, 806 p. (BEFAR, 275).
Scheid J., Sacrifice et banquet à Rome, in MEFRA, 97, 1985, p. 193-206.
Ces ouvrage et article permettent de comprendre le fonctionnement dun sacrifice, son déroulement concret et sa complexité mais aussi sa signification au sein de la cité.
Sur les célébrations importantes comportant un sacrifice (expiation, supplication, actions de grâces, jeux, voeux, uer sacrum, deuotio, euocatio) :
Bernstein F., Ludi Publici. Untersuchungen zur Entstehung und Entwicklung der öffentlichen Spiele im republikanischen Rom, Stuttgart, 1998, 408 p. (Historia, 119).
Blomart A., Die euocatio und der Transfer fremder Götter von der Peripherie nach Rom, in Reichsreligion voir infra.
Clavel-Levêque M., LEmpire en jeux. Espace symbolique et pratique sociale dans le monde romain, Paris, 1984.
Freyburger G., La supplication daction de grâces dans la religion romaine archaïque, in Latomus, 36, 1977, p. 289-298.
Freyburger G., La supplication daction de grâces sous le Haut-Empire, in ANRW, II, 16, 2, p. 1418-1439.
Guittard Ch., Tite-Live, Accius et le rituel de la deuotio, in CRAI, 1984, p. 581-600.
MacBain Br., Prodigy and Expiation, voir infra
Scheid J., Romulus, voir supra :
Cet ouvrage contient un chapitre fondamental (p. 290-383) pour la compréhension des voeux publics
Scheid J., Dell'importanza di scegliere bene le fonti. L'esempio dei Ludi secolari, in Scienze dell'antichitý, 10, 2000, p. 645-657.
Scheid J., Les incertitudes de la voti sponsio. Observations en marge du ver sacrum de 217 av. J.C., in Mélanges de droit romain et dhistoire ancienne. Hommage à la mémoire de André Magdelain, Paris, 1999, p. 417-425.
Schnegg-Köhler B., Die augusteischen Säkularspiele, in Archiv für Religionsgeschichte, 4, 2002, p. 1-278.
nouvelle édition commentée des textes épigraphiques relatifs aux Jeux séculaires augustéens ; examen des autres sources, numismatiques et littéraires, sy rapportant et de questions liées à ces Jeux
Versnel H. S., Self-Sacrifice, Compensation and the Anonymous Gods, in Le sacrifice dans lAntiquité, éd. Rudhardt J., Reverdin O., Genève, 1981, p. 135-185 (Entretiens de la fondation Hardt, XXVII).
Versnel H. S., Two Types of Roman Deuotio, in Mnemosyne, 29, 1976, p. 365-410.
Veyne P., La nouvelle piété sous lEmpire : sasseoir auprès des dieux, fréquenter les temples, in RPh, 63, 1989, p. 175-194.
Auspices et divination
Bloch R., La divination dans lAntiquité, Paris, 1984, 128 p., 5 fig.
Bouché-Leclercq A., Histoire de la divination dans lAntiquité. IV. Divination italique : étrusque, latine, romaine, Paris, 1892, 406 p.
Catalano P., Contributi allo studio del diritto augurale, I, Turin, 1960, 655 p. (Università dellIstituto giuridico, serie II, memoria 107).
Divination and portents in the Roman world, éd. Lorsch Wildfang R., Isager J., Odense, 2000, 79 p. (Odense university classical studies. 21).
MacBain Br., Prodigy and Expiation : a Study in Religion and Politics in Republican Rome, Bruxelles, 1982, 140 p. (Latomus, 117).
Magdelain A., Ius imperium auctoritas : Études de droit romain, Rome, 1990, 795 p. (Coll. EFR, 133) : Plusieurs articles sur le ius sacrum et les auspices.
Rasmussen, S. W., Public Portents in Republican Rome, Rome, 2003, 296 p. (Analecta Romana Instituti Danici. Supplementum, 34) : TOC : Sources and approaches ; Types of portents and priesthoods ; Cicero and public divination ; Divination as science ; Public portents and ager romanus versus ager peregrinus ; Public portents, religio-politics, and the construction of Roman identity.
Rosenberger V., Gezähmte Götter. Das Prodigienwesen der römischen Republik, Stuttgart, 1998, 287 p. (Heidelberger althistorische Beiträge und epigraphische Studien, 27).
Scheid J., La parole des dieux. Loriginalité du dialogue des Romains avec leurs dieux, in Opus, 6-8, 1987-1989, p. 125-136.
Instruments cultuels
Siebert A. V., Instrumenta Sacra. Untersuchungen zu römischen Opfer-, Kult- und Priestergeräten, Berlin, New York, 1999, 365 p. (Religionsgeschichtliche Versuche und Vorarbeiten, 44). CR: Polifemo.
Les hommes
Pour une première approche et une bonne compréhension de la figure sacerdotale à Rome, on consultera en priorité :
Pagan Priests. Religion and Power in the Ancient World, éd. Beard M., North J., Londres, 1990, 266 p.
Voir les articles de Beard M. (Priesthood in the Roman Republic), Gordon R. (From Republic to Principate : Priesthood, Religion and Ideology) et North J. (Diviners and Divination at Rome). CR: BMCR
Scheid J., Le prêtre, in Lhomme romain, éd. Giardina A., Paris, 1992, p. 71-106.
Sur les élections sacerdotales, on dispose dune synthèse récente :
Delgado Delgado J. A., Criterios y procedimientos para la elección de los sacerdotes en la Roma republicana, in Ilu. Revista de Ciencias de las Religiones, 4, 1999, p. 57-81.
Sur des acteurs sacerdotaux particuliers, lon peut se reporter aux références suivantes :
Beard M., The Sexual Status of Vestal Virgins, in JRS, 70, 1980, p. 12-27 ; Re-reading (Vestal) Virginity, in Women in Antiquity, éd. Hawley R., Levick B., Londres, New York, 1995, p. 166-177.
Boëls-Janssen N., La vie religieuse des matrones dans la Rome archaïque, Paris, 1993, 512 p. (Collection de l'École française de Rome, 176).
Briquel D., Chrétiens et haruspices. La religion étrusque, dernier rempart du paganisme romain, Paris, 1997, 209 p.
Ce livre retrace excellemment toute l'histoire des haruspices depuis les origines jusqu'à ses ultimes traces dans le monde antique. Il étudie aussi les rapports entre le christianisme et le paganisme dans les derniers siècles de l'Empire, l'haruspicine faisant alors partie intégrante de la religion romaine et étant perçue comme un des derniers remparts du paganisme. CR: Revue de livres.
Cirilli R., Les prêtres danseurs de Rome. Étude sur la corporation sacerdotale des saliens, Paris, 1913, 186 p.
Guizzi F., Aspetti giuridici del sacerdozio romano. Il sacerdozio di Vesta, Naples, 1968, 234 p.
Haack M.-L., Les haruspices dans le monde romain, Paris, 2003, 273 p. (Ausonius, 6).
Linderski J., The Augural Law, in ANRW, 2, 16, 3, 1986, p. 2146-2312.
Marco Simón F., Flamen Dialis. El sacerdote de Júpiter en la religión romana, Madrid, 1996, 254 p. (Religiones antiquitatis).
Montero S., Política y adivinación en el Bajo Imperio Romano: emperadores y harúspices (193 D.C. - 408 D.C.), Bruxelles, 1991, 195 p. (Collection Latomus, 211).
Porte D., Le prêtre à Rome. Les donneurs de sacré, Paris, 1995, 266 p. (Petite Bibliothèque Payot, 225) (ouvrage paru en 1989 sous le titre Les donneurs du sacré, publié par Les Belles Lettres).
Saquete J. C., Las vìrgenes vestales, un sacerdocio femenino en la religión publica romana, Madrid, 2000, 165 p. (Anejos de Archivo Español de Arqueología, XXI). CR: Polifemo. (septembre 2003)
Scheid J., Dindispensables « étrangères ». Les rôles religieux des femmes à Rome, in Histoire des femmes en Occident. I. LAntiquité, éd. Schmitt-Pantel P., Paris, 1991, p. 405-437.
Scheid J., Romulus, voir supra (sur la sodalité des frères arvales).
Scheid J., Granino Cecere M. G., Les sacerdoces publics équestres, in Lordre équestre. Histoire dune aristocratie (IIe siècle av. J.-C.-IIIe siècle ap. J.-C.), Rome, 1999, p. 79-189 (Coll. EFR, 257).
Staples A., From Good Goddess To Vestal Virgins. Sex and Category in Roman Religion, Londres, New York, 1998, 207 p.
"L'optique apparaît structurale, la religion romaine étant perçue par l'auteur comme un système organisé autour de catégories, lesquelles s'intègrent à leur tour dans un système plus large. En d'autres termes, le rôle cultuel des femmes les classe en catégories sexuellement définies, ce qui rejaillit sur les autres aspects de la culture, y compris le politique. La fête de la Bona Dea concerne la relation hommes/femmes. Les cultes de Cérès et de Flore polarisent rituellement les catégories matrones/prostituées. Les différents cultes de Vénus (Verticordia, Obsequens, Érycine) procèdent eux aussi à des classements rituels. Quant aux Vestales, que l'auteur voit impropres à représenter une catégorie rituelle isolée, elles sont aptes à symboliser l'ensemble. Rituellement leur virginité représente l'intégrité de l'État romain; rituellement elles sont Rome".
Vanggaard J. H., The Flamen. A Study in the History and Sociology of Roman Religion, Copenhague, 1988, 175 p.
Van Haeperen F., Le collège pontifical (3e s. a.C.- 4e s. p.C.). Contribution à létude de la religion publique romaine, Bruxelles, Rome, 2002, 467 p. (Études de philologie, darchéologie et dhistoire anciennes de lInstitut historique belge de Rome, 39).
De nombreuses études prosopographiques ont été consacrées aux prêtres romains.
Hoffman Lewis M., The Official Priests of Rome under the Julio-Claudians. A Study of the Nobility from 44 B.C. to 68 A.D., Rome, 1955, 186 p. (Papers and Monographs of the American Academy in Rome, 16).
Howe G., Fasti sacerdotum p. R. publicorum aetatis imperatoriae, Leipzig, 1904, 96 p.
Pflaum H.-G., Les sodales Antoniniani de lépoque de Marc-Aurèle, Paris, 1966, 93 p.
Prosopographie der stadtrömischen Priesterschaften römischer, griechischer, orientalischer und jüdisch-christlicher Kulte bis 499 n. Chr., éd. Cancik H., Rüpke J., Stuttgart, parution prévue en 2004, 3 vol. (en préparation).
Raepsaet-Charlier M.-Th,. Lorigine sociale des Vestales sous le Haut-Empire, in « MNHMH » Georges A. Petropoulos, 2, Athènes, 1984, p. 253-270.
Scheid J., Le collège des frères arvales. Étude prosopographique du recrutement (69-304), Rome, 1990, 493 p. (Saggi di storia antica, 1).
Scheid J., Les Frères Arvales. Recrutement et origine sociale sous les empereurs julio-claudiens, Paris, 1975, 431 p. (Bibliothèque de lÉcole des Hautes Études. Section des Sciences Religieuses, 77).
Scheid J., Les prêtres officiels sous les empereurs julio-claudiens, in ANRW, 2, 16, 1, 1978, p. 610-654.
Schumacher L., Die vier hohen römischen Priesterkollegien unter den Flaviern, den Antoninen und Severern (69-235 n. Chr.), in ANRW, 2, 16, 1, 1978, p. 655-819.
Schumacher L., Prosopographische Untersuchungen zur Besetzung der vier hohen römischen Priesterkollegien im Zeitalter der Antonine und der Severer (96-235 n. Chr.), Mayence, 1973, 489 p.
Szemler G. J., The Priests of the Roman Republic. A Study of Interactions between Priesthoods and Magistracies, Bruxelles, 1972, 225 p. (Collection Latomus, 127).
Les dieux
Sur le panthéon romain, sa hiérarchie, les rapports entre les divinités, les relations entre les hommes et les dieux :
Dumézil G., La religion romaine archaïque, avec un appendice sur la religion des Étrusques, 2e éd., Paris, 1974, 700 p. (Bibliothèque historique).
Ouvrage indispensable pour la compréhension du panthéon romain, pour lanalyse de ses mythes
Scheid J., Hiérarchie et structure dans le polythéisme romain. Façons romaines de penser laction, in Archiv für Religionsgeschichte, 1, 1999, p. 184-203.
Scheid J., Numa et Jupiter ou les dieux citoyens de Rome, in Archives de sciences sociales des religions, 59, 1985, p. 41-53.
Sur des divinités particulières :
Gagé J., L'Apollon romain. Essai sur le culte d'Apollon et le développement du « ritus Graecus » à Rome des origines à Auguste, Paris, 1955, 741 p. (BEFAR, 182).
Brouwer H. H. J., Bona Dea : The Sources and a Description of the Cult, Leyde, 1989, 507 p., 5 fig., 52 pl., 5 cartes (EPRO, 110).
Le Bonniec H., Le culte de Cérès à Rome. Des origines à la fin de la République, Paris, 1958, 507 p. (Etudes et commentaires, 27).
Spaeth B. S., The Roman Goddess Ceres, Austin 1996, 256 p.
D'Arco I., Il culto di Concordia e la lotta politica tra IV e II sec. a.C., Rome, 1998, 110 p.
Borgeaud P., La Mère des dieux. De Cybèle à la Vierge Marie, Paris, 1996, 261 p.
Freyburger G., Fides. Étude sémantique et religieuse depuis les origines jusqu'à l'époque augustéenne, Paris, 1986, 361 p. (Collection d'études anciennes).
Champeaux J., Fortuna : recherches sur le culte de la Fortune à Rome et dans le monde romain des origines à la mort de César, 2 vol. (I. Fortuna dans la reigion archaïque ; II. Les transformations de Fortuna sous la République), 1982-1987 (Coll. EFR, 64), 526 p.
Bayet J., Les origines de lHercule romain, Paris, 1926, 502 p. (BEFAR, 132).
Combet-Farnoux B., Mercure romain : le culte public de Mercure et la fonction mercantile à Rome, de la république archaïque à l'époque augustéenne, Rome, 1980, 528 p., 8 pl. (BEFAR, 238).
Pouthier P., Ops et la conception divine de l'abondance dans la religion romaine jusqu'à la mort d'Auguste, Rome, 1981, 366 p. (BEFAR, 242).
Dubourdieu A., Les origines et le développement du culte des Pénates à Rome, Rome, 1989, 566 p. (Coll. EFR, 118).
Briquel D., Remarques sur le dieu Quirinus, in RBPh, 74, 1996, p. 99-120.
Porte D., Romulus-Quirinus, prince et dieu, dieu des princes. Étude sur le personnage de Quirinus et sur son évolution, des origines à Auguste, in ANRW, 2, 17, 1, 1981, p. 300-342.
Le Gall J., Recherches sur le culte du Tibre. Thèse complémentaire pour le Doctorat ès Lettres présentée à la Faculté des Lettres de lUniversité de Paris, Paris, 1953, 124 p.
Schilling R., La religion romaine de Vénus depuis les origines jusquau temps dAuguste, Paris, 1954, 442 p. (BEFAR, 178).
Capdeville G., Volcanus : recherches comparatistes sur les origines du culte de Vulcain, Rome, 1995, 519 p. (BEFAR, 288).
Cardauns B., M. Terentii Varronis Antiquitates Rerum Diuinarum, 2 vol. Wiesbaden, 1976 (Akademie der Wissenschaften und der Literatur in Mainz, Abh. der Geistes- und sozialwiss. Kl. Einzelveröffentlichung).
Feeney D., Literature and Religion at Rome. Cultures, Contexts, and Beliefs, Cambridge, 1998, 171 p. (Roman Literature and its Contexts).
« Un essai passionnant, dans lequel l'auteur, qui étudie les interactions entre la religion et la littérature, propose une série de réflexions (originales, parfois provocantes, mais toujours intéressantes) sur quatre grands sujets, à savoir la croyance (p. 12-46), le mythe (p. 47-75), la divinité (p. 76-114) et le rituel (p. 115-136). En conclusion, un épilogue (p. 137-143) sur la connaissance que les Romains avaient de leur religion, et sur la connaissance que nous en avons aujourd'hui. Un des intérêts du livre est de se placer dans une perspective anthropologique et sociologique. »
Fox M., Roman Historical Myths : The Regal Period in Augustan Literature, Oxford, 1996, 269 p.
Levene D., Religion in Livy, Leyde, 1993, 257 p.
Liou-Gille B., Une lecture religieuse de Tite-Live I : Cultes, rites, croyances de la Rome archaïque, Paris, 1998, 453 p.
Mora F., Il pensiero storico-religioso antico. Autori greci e Roma. I : Dionigi dAlicarnasso, Rome, 1995, 464 p.
Mueller H.-F., Roman Religion in Valerius Maximus, Londres, 2002, 266 p. (CR BMCR)
1. Juno Valeriana ; 2. Vesta Mater ; 3. In Iouis sacrorio ; 4. Ritual vocabulary and moral imperatives ; 5. Sanctitas morum, or the general intersections of religion and morality
Mythos in mythenloser Gesellschaft : Das Paradigma Roms. Kolloquium Augst 28.-30. August 1991, Stuttgart, 1993, 335 p.
Roman Myth and Mythography, éd. Bremmer J., Horsfall N., Londres, 1987, 120 p.
Sauron G., Quis deum ? Lexpression plastique des idéologies politiques et religieuses à Rome, Rome, 1994, 735 p., 72 pl. (BEFAR, 285).
Stilp F., Mariage et Suovetaurilia. Étude sur le soi-disant « Autel de Domitius Ahenobarbus », Rome, 2001, 179 p., 77 fig. (Rivista di Archeologia, suppl. 26).
Vaahtera J., Roman Augural Lore in Greek Historiography. A Study of the Theory and Terminology, Stuttgart, 2001, 194 p. (Historia. Einzelschriften, 156). (CR Polifemo [janvier 2003]; BMCR)
« This study has two purposes. On the one hand, it attempts to clarify where and how the Greek historians treated the augural matters in their writings. On the other hand, it examines whether it is possible to gain some new insight into the augural lore by approaching the subject through Greek sources » (p. 7-8).
Versnel H. S., Inconsistencies in Greek and Roman Religion. II. Transition and Reversal in Myth and Ritual, Leyde-New York-Cologne, 1993, 354 p. (Studies in Greek and Roman Religion, 6, 2).
Sur les différents niveaux de significations de quelques rituels romains (Saturnalia, culte de Mars, Bona Dea et Apollon).
Perceptions chrétiennes de la religion romaine
Leveleux C., Des prêtresses déchues : limage des Vestales chez les Pères de lÉglise latine (Fin IIe-début Ve siècle), Paris, 1995, 172 p. (Travaux et recherches. Panthéon-Assas Paris II. Droit-Économie-Sciences sociales).
Vermander J.-M., La polémique des apologistes latins contre les dieux du paganisme, in RechAug, 17, 1982, p. 3-128.
Bastien J.-L., Le triomphe romain et son utilisation politique à Rome aux trois derniers siècles de la République, Paris, De Boccard, 2007, 482 p. (Collection de l'École française de Rome, 392).
Birley E., The Religion of the Roman Army : 1895-1977, in ANRW, II, 16, 2, 1978, p. 1506-1541.
Ferrary J.-L., Ius fetiale et diplomatie, in Les relations internationales, éd. Frezouls E., Jacquemain A., Paris, p. 411-432.
« Lhistoire du rituel de la déclaration de guerre »
Rüpke J., Domi militiae : Die religiöse Konstruktion des Krieges in Rom, Stuttgart, 1990, 312 p.
Versnel H. S., Triumphus. An Enquiry into the Origin, Development and Meaning of the Roman Triumph, Leyde, 1970, 409 p.
Le délit religieux dans la cité antique (Table ronde, Rome, 6-7 avril 1978), Rome, 1981, 183 p. (Coll. EFR, 48).
Pailler J.-M., Bacchanalia. La répression de 186 av. J.-C. à Rome et en Italie, Rome, 1988, 868 p. (BEFAR, 270).
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[Dernière intervention : 11 août 2009]]